Cela fait trente ans que je m’intéresse au Rwanda, depuis avril 1994. À cette époque, journaliste stagiaire, je recueille, depuis Paris, des témoignages sur les tueries qui sont en train d’avoir lieu dans ce petit pays de l’Afrique des Grands Lacs. Quelques mois plus tard, en août 1994, je travaille dans les camps de réfugiés rwandais à Goma, à la frontière du pays, mais côté Zaïre (aujourd’hui RDC).
Presque trente ans plus tard, je me suis rendue au Rwanda pour rencontrer des femmes et des hommes qui étaient enfants ou adolescents en 1994 et qui ont survécu au génocide perpétré contre les Tutsi. Ils sont les adultes du Rwanda d’aujourd’hui et sont devenus parents à leur tour.
Comment devient-on adulte après avoir survécu ?
Et quel adulte est-on trente ans plus tard ?
Un voyage qui m’a conduit vers la lumière et la beauté. L’espoir et la vie.
« Après la pluie d’avril » raconte ce voyage, ces rencontres.
En librairie dès le 13 mars 2024
En mars 2024, à Kigali, j’ai présenté « Après la pluie d’avril », en avant-première, aux Rencontres Internationales du Livre Francophone organisées par l’Institut Français du Rwanda.

« Après la pluie d’avril » dans les médias :
- Interview dans « Le Monde » :« Raconter comment les enfants et adolescents survivants sont devenus les adultes du Rwanda actuel », le 3 avril 2024.

- Article dans le quotidien belge « Le Soir » : Dix livres sur le Rwanda pour revisiter le passé et bâtir le présent ».

- Article du magazine Le Point : « À lire, à voir : trente ans après le génocide des Tutsis du Rwanda« .
- Article du magazine belge « Le Vif » : « Il y a 30 ans, le génocide des Tutsis au Rwanda: pourquoi des séquelles restent irréparables« .
- Interview sur « 20 minutes » le 6 avril 2024 : « Génocide au Rwanda : Trente ans après, les survivants vivent avec « tous les jours »
– Interview dans le JT de 13 heures sur « France 24 » le 6 avril 2024 : « Comment les Rwandais surmontent-ils le traumatisme ».
Ma série de vidéos sur Tik-Tok @isabelledarras : pourquoi Nekfeu chante qu’il « s’est mouillé comme la France au Rwanda »
